Press Review
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“Arcana announces itself with ‘Kalavati’, a driving fusion track named after a Hindustani raga; the piece establishes the album as very much at the jazz end of the Indo-jazz spectrum. French flautist Guīllaume Barraud wants to deploy the bansuri flute in new musical contexts, and in a blitz of serpentine melodies set against odd-time grooves, he makes a punchy pitch for the instrument’s versatility. Yet Barraud composed the tunes on Arcana entirely on his first instrument, the guitar, which shows through in the prominence of his British guitarist Tam de Villiers, who ranges from crisp chops to full-on shredding – on occasions even threatening to overpower Barraud’s bansuri. ‘Mumbai on My Mind’ achieves the right balance, with Barraud’s solo borne on a wave of jangly guitar to frenzied flutter-tongued heights. Any use of the bansuri in jazz evokes legendary Indian flautist Hariprasad Chaurasia, with whom Barraud studied for five years in Mumbai. Arcana has a harder-edged sound than the East meets West fusions of Chaurasia’s collaborators, such as John McLaughlin or Jan Garbarek. It is an alternative to be applauded and enjoyed.”
Liam Izod — SONGLINES (#139)

to be applauded and enjoyed

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RÉVÉLATION !
“Ayant étudié auprès du légendaire Hariprasad Chaurasia le bansouri, la grande flûte traversière de bambou dédiée à la musique classique d’Inde du Nord, Guillaume Barraud s’emploie à élargir l’univers, l’entraînant notamment sur le terrain du Jazz. Solidement sountenu par le bassiste électrique Johann Berby et le batteur Xavier Rogé, il muscle la dimension méditative héritée de son instrument de mélodies nerveusement rythmées que dynamise encore la répartie du guitariste Tam De Villiers. Ce séduisant album constitue une belle surprise.”
Thierry P. Bénizeau — JAZZ MAGAZINE (#703)

ce séduisant album constitue une belle surprise

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“Par quel mystérieux processus intérieur passe-t-on, au cœur d’un parcours de musicien, d’un instrument à un autre? C’est aussi à la réponse à cette question que nous invitent les superbes ‘Indo-Jazz Sessions’ de l’album ‘Arcana’ que publie aujourd‘hui Guīllaume Barraud. Voué d’abord à la guitare, ce musicien singulier a fait basculer sa trajectoire musicale après une rencontre avec une légende de la musique indienne, le flûtiste Hariprasad Chaurasia. De 2001 à 2006, il se consacre à l’étude en profondeur de la musique classique nord-indienne auprès du maestro dans sa célèbre université Vrindaban Gurukul à Bombay, en se dédiant entièrement à la flûte Bansuri. Après bien des aventures et rencontres musicales, de Tryo à Tony Gatlif en passant par Trilok Gurtu, il se lance enfin, début 2015, dans le projet qui compte le plus à ses yeux, son propre quartet composé du guitariste britannique Tam de Villiers, du batteur belge Xavier Rogé et du bassiste réunionnais Johann Berby. Leur premier album vient de sortir (chez World Music Network | Riverboat Records) et propulse d’emblée ce groupe, porté par de belles compositions personnelles, au rang des formations actuelles les plus convaincantes dans cette veine hautement poétique de l’indo-jazz contemporain.”
Jean-Luc Caradec — LA TERRASSE (#263)

les superbes ‘Indo-Jazz Sessions’ propulsent d’emblée ce groupe au sein des formations actuelles les plus convaincantes

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“The Guīllaume Barraud Quartet’s Arcana: The Indo-Jazz Sessions (★★★★ World Music Network/Riverboat Records CD) showcases Barraud’s mastery of the Indian bamboo flute (bansuri) when combined with the more conventional jazz instrumentation of electric guitar, bass and drums. Recorded ‘live’ in the studio and deeply exploratory in mood, the delicate duelling and intricate interaction between Barraud’s bansuri, Tam de Villiers guitar and the fleet-footed rhythm section never fails to turn up interesting results among them the fast moving ‘Giant Leap’- composed as a tribute to Miles Davis which comes complete with the occasional hint of the Mahavishnu Orchestra.(…)”
Grahame Bent — SHINDIG MAGAZINE (#76)

never fails to turn up interesting results

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“(…) Il est des rencontres improbables que seul le jazz peut aisément envisager. C’est une de celles-là que Guillaume Barraud propose avec son CD sous-titré ‘The Indo-Jazz Sessions’. C’est clair, l’Orient s’invite au Blue Note. (…) Un joli brun d’exotisme et de parfums épicés à mettre entre les oreilles des plus exigents amateurs de jazz.”
Vince — LA GAZETTE BLEUE (#27)

l’Orient
s’invite au Blue Note

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“Hariprasad Chaurasia a largement convaincu le public occidental des possibilités infinies offertes par la simple flûte de bambou nommé ‘bansuri’. Guillaume Barraud, qui fut son disciple, se propose pour sa part d’explorer ces potentiels dans un contexte jazz et électrique. Le résultat est séduisant si l’on en juge par l’album ‘Arcana: The Indo-Jazz Sessions’. On ne doute qu’il en sera de même sur scène.“
Louis-Julien Nicolaou — TÉLÉRAMA SORTIR #3557

le résultat est séduisant

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“(…) an assertive and vintage metropolitan music in which odd grooves and sharp contrasts define the picture. (…) Leader Barraud makes his lyrical wind instrument bend with the sometime turbulent squalls of his energetic trio of fellow musicians in wondrous ways.(…) With Arcana, the quartet, who made their debut on CD, immediately passed the master’s test.”
Ronald Veerman

the quartet immediatly passes the master’s test

CADENCEINFO.COM

“L’album ‘Arcana’ de Guīllaume Barraud est le parfait reflet d’un jazz qui se pare de métamorphoses sonores à la fois prenantes et captivantes. Cet adepte de la flûte bansuri nous invite dans un voyage complexe et dense qui ne cesse de rebondir et de nous surprendre. Sous-titré ‘The Indo-Jazz Sessions’, l’album porte une dimension méditative évidente sans ignorer les valeurs liées au jazz-fusion et aux mesures asymétriques si chères à la musique indienne. (…)”
Elian Jougla — CADENCEINFO

un voyage complexe et dense, qui ne cesse de rebondir
et de nous surprendre

JAZZ-RHONE-ALPES.COM

“(…) Nous avions eu Shakti et le Mahavishnu Orchestra dans les années 70′ et plus récemment Mukta en France qui a beaucoup mixé la Sitar et le jazz. Le Guillaume Barraud Quartet renouvelle et modernise le genre du jazz fusion d’inspiration indienne. Après ce concert, à la fois groove et poétique, nous guetterons l’album ‘ARCANA’ en préparation pour cet hiver sur le catalogue Riverboat Records du label Anglo-Saxon World Music Network.”
Jean-François Viaud — JAZZ-RHONE-ALPES

renouvelle et modernise
le genre du jazz fusion

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“(…) L’interaction entre les musiciens est constante et les instruments sont tellement intriqués que l’on a la sensation que l’on ne pourrait rien ajouter de plus à ce que joue le quartet. En somme, un groupe équilibré et dense et qui a des choses à raconter, merci pour ce voyage!”
Vincent Morin — JAZZ’IN LYON

merci pour ce voyage

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“(…) Lorsqu’arrive sur scène le quartet de Guīllaume Barraud, on découvre encore une autre facette du jazz, celui qui épouse une Pop venue de loin, venue d’Inde où le musicien a vécu cinq ans pour y peaufiner son art. La délicate mélopée de la flute Bansouri s’enroule autour de la nuque, descend le long du dos, apaise, adoucit. Ce quatuor est une sorte de tapis volant, dont la trame majeure est l’instrument de bambou, enluminée et tissée par Tam de Villiers à la guitare électrique, Johann Berby à la basse et Xavier Rogé à la batterie. ARCANA, leur album sera le 9 février 2018 dans les bacs.”
Caroline Prévost

la décilcate mélopée de la flûte bansouri s’enroule autour de la nuque, descend le long du dos, apaise, adoucit

COULEUR-INDIENNE.NET

“Il se dégage de la flûte bansouri jouée par Guillaume Barraud, et dans la manière dont il explore les notes, un profond lyrisme teinté d’orange (couleur symbole de l’Inde) et de bleu. Sa flûte si particulière crée une alchimie inattendue, et si naturelle à la fois, tout au long de cet album Arcana: The Indo-Jazz Sessions, fraîchement sorti début février 2018. On se trouve vite emporté par la mélopée de cette flûte traversière indienne que Guillaume manie avec science depuis 2001. On est vite porté vers des cieux où Inde et Occident, musique traditionnelle Indienne et Jazz se mêlent. Dans ce qu’on pourrait qualifier d’album “fusion” très réussi, le flûtiste est accompagné de virtuoses de la scène Jazz, tous rompus à l’exercice indo-occidental, mais comme galvanisés par ce nouveau défi tant ils paraissent inspirés. On trouve donc dans ce quartet, le guitariste britannique Tam de Villiers, le bassiste réunionnais Johann Berby, et le batteur belge Xavier Rogé. Les 9 morceaux ont été composés par Guillaume Barraud ce qui fait de cet album un travail très personnel, qui rend compte de toute la sincérité du propos derrière chaque note soufflée. Cette flûte traversière indienne traditionnelle est sans doute le plus ancien instrument de la musique hindoustanie (musique de l’nde du Nord). J’imagine qu’il aura fallu des années en apprentissage et en formation auprès de Hariprasad Chaurasia, son maître et mentor, pour parvenir à un tel niveau de virtuosité. L’instrument renvoie aux ragas indiens ancestraux. De Mélopée, la musique du bansouri devient souffle de vie dans cet album surprenant aux accents parfois proches de celui du Mahavishnu Orchestra, dont Guillaume se réclame dans un des morceaux. Il faut écouter et réécouter cet album si l’on veut voyager et passer un moment musical unique.”
Fabienne-Shanti Desjardins

un moment musical
unique

“Le jazz est protéiforme. Avec Guillaume Barraud, on en découvre une autre facette, à la croisée des chemins avec les musiques du monde. Un jazz qui se lie à une pop venue de loin, d’Inde où le musicien a vécu cinq ans pour y peaufiner son art. Lors de ce voyage initiatique, sa rencontre avec le grand musicien indien Hariprasad Chaurasia, virtuose de la flûte bansurî, sera une révélation.
« La flûte bansurî, instrument en bambou à la sonorité envoûtante et sensuelle, est l’instrument emblématique de l’Inde du Nord. De retour à Paris, Guillaume explore les possibilités de l’utiliser dans d’autres styles que celui de la musique traditionnelle, tout en développant un univers musical original », explique Tonnerre de jazz, l’association qui accueille le musicien dans le cadre de sa saison 2017–2018.”
LA RÉP DES PYRÉNÉES
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“(…) Guillaume Barraud, après des débuts de guitariste, et suite à sa rencontre avec Hariprasad Chaurasia, est devenu une figure incontournable de la flûte bansuri qu’il intègre superbement, avec son héritage, au contexte du jazz contemporain. (…)”
Roland Corbelain — DAUPHINÉ LIBÉRÉ
“[Pascal Lengagne] vient il y a quelques jours de terminer la bande-son du dernier film de Pef, “Fahim”, avec un orchestre de vingt-cinq musiciens, dont Guillaume Barraud, flûtiste bansuri, Prabhu Edouard aux percussions indiennes, et Pascal Lengagne himself, au piano”
Guilhem Richaud — MIDI LIBRE
“[Pascal Lengagne] has completed the soundtrack of Pef’s last film: ‘Fahim’, just a few days ago, with an orchestra comprised of twenty-five musicians, including bansuri flaustist Guillaume Barraud, Prabhu Edouard on Indian percussions, and Pascal Lengagne himself, on the piano”

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